Objectifs de dĂ©veloppement durable des Nations Unies /unsdgs/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 16:08:00 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.1 Le City Institute de şÚÁĎappdĂ©veloppe de nouvelles connaissances et des approches innovantes dans le domaine urbain /unsdgs/sustainable-cities-and-communities-fr/yorks-city-institute-provides-new-knowledge-and-innovative-approaches-in-the-urban-arena/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:45:53 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/yorks-city-institute-provides-new-knowledge-and-innovative-approaches-in-the-urban-arena/ Pictured here: Linda Peake En tant qu’établissement d’apprentissage et d’enseignement, l’UniversitĂ© şÚÁĎappse dĂ©finit par sa capacitĂ© Ă  relever des dĂ©fis sociaux complexes et Ă  Ă©laborer et fournir des solutions qui apportent des changements significatifs dans le monde. Cela est particulièrement vrai dans nos villes oĂą la plupart d’entre nous vivent aujourd’hui. şÚÁĎappest un centre […]

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Pictured here: Linda Peake

En tant qu’établissement d’apprentissage et d’enseignement, l’UniversitĂ© şÚÁĎappse dĂ©finit par sa capacitĂ© Ă  relever des dĂ©fis sociaux complexes et Ă  Ă©laborer et fournir des solutions qui apportent des changements significatifs dans le monde. Cela est particulièrement vrai dans nos villes oĂą la plupart d’entre nous vivent aujourd’hui.

şÚÁĎappest un centre de rĂ©flexion et d’action sur la manière de construire des villes et des communautĂ©s plus durables et inclusives. Au centre de ce travail se trouve le City Institute de l’UniversitĂ© şÚÁĎapp(CITY) qui rĂ©unit des universitaires de şÚÁĎappspĂ©cialistes dans des domaines tels que la gĂ©ographie, les Ă©tudes environnementales, la planification, la sociologie, l’anthropologie, la science politique et l’éducation. Il est dirigĂ© par la professeure Linda Peake, une universitaire primĂ©e, spĂ©cialisĂ©e dans l’intersection de la race et du genre et dans l’influence que ces facteurs exercent en gĂ©ographie humaine et au-delĂ . Sous sa direction, le City Institute a une incidence sur la manière dont nous construisons, dĂ©veloppons et rĂ©amĂ©nageons nos communautĂ©s au 21e ˛őľ±Ă¨ł¦±ô±đ.&˛Ô˛ú˛ő±č;

« Nous avons crĂ©Ă© le City Institute pour ĂŞtre un leader mondial de la recherche sur la façon dont nous pouvons mieux planifier, construire et amĂ©liorer nos villes au profit des personnes qui y vivent, explique Mme Peake. Je suis très heureuse de travailler aux cĂ´tĂ©s d’esprits brillants et de participer Ă  un projet aussi important. Le travail que nous accomplissons ensemble a un effet rĂ©el dans le monde d’aujourd’hui et pour les annĂ©es Ă  venir. Â»

En tant qu’institut interdisciplinaire, CITY facilite la recherche critique et collaborative, apportant de nouvelles connaissances et des approches innovantes pour comprendre et aborder la complexité de l’arène urbaine. L’Institut joue également un rôle essentiel dans le développement de la prochaine génération de leaders et de penseurs du Canada, les diplômés et chercheurs postdoctoraux jouant un rôle central dans la vie de l’Institut. Les chercheurs de CITY entretiennent des relations de longue date avec des groupes communautaires, des ONG et des décideurs politiques à Toronto, dans la région du Grand Toronto (GTA) et dans le monde entier.

Le City Institute dispose d’un certain nombre de groupes de travail, dont le groupe de recherche sur les villes intelligentes, le groupe de recherche urbaine fĂ©ministe et le groupe sur les banlieues. CITY est Ă©galement Ă  l’origine de nombreux projets de recherche novateurs, dont CivicLabTO, Digital Urbanism and the Challenge of Urban Governance, Student DwellTO, ainsi que le projet GenUrb, financĂ© par le CRSH, GenUrb: Gender, urbanization and the global south, qui est axĂ© sur l’urbanisation et le genre dans les pays Ă  revenu moyen infĂ©rieur et est Ă©galement dirigĂ© par la professeure Peake. 

RĂ©unissant des leaders d’opinion de l’UniversitĂ© et d’ailleurs, la sĂ©rie de sĂ©minaires CITY favorise le dialogue sur une variĂ©tĂ© de sujets allant de l’impact des Ă©lections fĂ©dĂ©rales sur la rĂ©gion du Grand Toronto au savoir et Ă  l’éducation centrĂ©s sur les Autochtones. RĂ©cemment, le sommet CivicLabTO a rĂ©uni tous les collèges et toutes les universitĂ©s de Toronto pour discuter de la relance de la ville après la pandĂ©mie, en mettant l’accent sur la collaboration avec le gouvernement municipal, le renouvellement et la rĂ©silience.  

Plus rĂ©cemment, le City Institute a mis en place une sĂ©rie d’évĂ©nements de formation professionnelle pour les diplĂ´mĂ©s – ateliers sur la pratique professionnelle, sĂ©ances « s’asseoir et Ă©crire Â», prix de rĂ©daction pour les Ă©tudiantes et Ă©tudiants de premier cycle et les diplĂ´mĂ©es et diplĂ´mĂ©s, confĂ©rence d’une journĂ©e pour les diplĂ´mĂ©s – tant pour les diplĂ´mĂ©s en Études urbaines que les Ă©tudiants de niveau 4000. Il s’agira d’une sĂ©rie d’évĂ©nements annuels qui aideront Ă©galement les diplĂ´mĂ©es et diplĂ´mĂ©s travaillant sur leur plan de dĂ©veloppement individuels d’études supĂ©rieures.

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şÚÁĎapplance une nouvelle politique d’approvisionnement social – une première au Canada /unsdgs/responsible-consumption-and-production-fr/york-launches-new-social-procurement-policy/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:45:44 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/york-launches-new-social-procurement-policy/ Pictured here: Dexter King L’UniversitĂ© şÚÁĎappest un leader communautaire et un membre fier et actif de la communautĂ©. Nous voulons vivre, travailler et enseigner dans un lieu prospère, diversifiĂ© et durable, et nous pensons que nous avons la possibilitĂ© et l’obligation de montrer l’exemple. Alors, c’est ce que nous faisons. L’une de nos façons de […]

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Pictured here: Dexter King

L’UniversitĂ© şÚÁĎappest un leader communautaire et un membre fier et actif de la communautĂ©. Nous voulons vivre, travailler et enseigner dans un lieu prospère, diversifiĂ© et durable, et nous pensons que nous avons la possibilitĂ© et l’obligation de montrer l’exemple. Alors, c’est ce que nous faisons.

L’une de nos façons de donner l’exemple est notre politique d’approvisionnement social. şÚÁĎappest l’une des premières universitĂ©s canadiennes Ă  avoir Ă©tabli une politique complète d’approvisionnement social. Nous comprenons que la façon dont nous achetons et fournissons des biens et des services permet une croissance Ă©conomique inclusive et a un impact positif sur les communautĂ©s qui nous entourent.

Comme l’explique le directeur des Services d’approvisionnement, Dexter King : « La politique d’approvisionnement social de l’UniversitĂ© reflète ses valeurs d’équitĂ©, d’inclusion et de justice sociale, des valeurs qui l’ont fait avancer depuis plus de 60 ans. Â»

La politique d’approvisionnement social de şÚÁĎappĂ©tablit le cadre des valeurs et des principes pour amĂ©liorer l’incidence sur la communautĂ© et donne des directives au personnel sur la façon dont nous achetons des biens et des services. Cette politique a notamment les effets suivants :

  • Elle s’attaque aux dĂ©savantages Ă©conomiques en promouvant l’égalitĂ© des chances et l’inclusion et en Ă©liminant les obstacles auxquels se heurtent les communautĂ©s en quĂŞte d’équitĂ© et d’autres personnes qui connaissent de manière disproportionnĂ©e le chĂ´mage ou le sous-emploi et la discrimination;
  • Elle aspire Ă  dĂ©velopper une culture de l’approvisionnement social Ă  York;
  • Elle tire parti des processus d’achat de şÚÁĎappau profit de notre Ă©conomie locale;
  • Elle crĂ©e un rĂ©el Ă©quilibre entre les objectifs d’équitĂ©, la responsabilisation, la transparence et l’efficacitĂ©; et
  • Elle s’intègre au rĂ´le de şÚÁĎappen tant qu’, crĂ©ant ainsi un processus de chaĂ®ne d’approvisionnement responsable et durable.

La façon dont nous avons obtenu des biens et des services pour la construction en cours du campus Markham de York est un excellent exemple de l’impact de notre rĂ©seau de fournisseurs « fournisseur divers Â» ou d’« entreprise sociale Â».

şÚÁĎappconstruit au cĹ“ur de Markham un nouveau campus de 10 Ă©tages et de 400 000 pieds carrĂ©s, qui doit ouvrir en automne 2023 et qui augmentera l’accès Ă  des expĂ©riences d’apprentissage de haute qualitĂ©, axĂ©es sur la recherche et inclusives pour les Ă©tudiantes et Ă©tudiants de cette rĂ©gion en pleine croissance. Le campus Markham ancrera şÚÁĎappdans l’une des communautĂ©s urbaines les plus diverses et les plus dynamiques de la province et du pays. ReflĂ©tant l’économie locale, les programmes universitaires et la recherche s’articuleront autour des thèmes centraux de la technologie et de l’esprit d’entreprise et de la manière dont ils stimulent l’innovation dans tous les domaines de la connaissance et de la sociĂ©tĂ©.

Remettant en question les attentes traditionnelles d’un campus universitaire, le campus Markham sera un lieu de rencontre unique en son genre où les membres de la communauté étudiante pourront interagir directement avec les employeurs, les entreprises en démarrage et les partenaires communautaires de toute la région de York.

« La construction de ce nouveau campus est une dĂ©claration en soi, mais la manière dont nous le construisons l’est tout autant, dĂ©clare M. King. Ce nouveau centre d’apprentissage est bâti par la communautĂ© et pour son compte. La mission de şÚÁĎappest exprimĂ©e en verre, en bĂ©ton et en acier, et c’est la preuve des grandes choses que nous pouvons accomplir lorsqu’une mission commune nous rassemble. Â»

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La crise climatique aura des rĂ©percussions sur notre santĂ©, de la disparition des abeilles Ă  l’insĂ©curitĂ© alimentaire /unsdgs/climate-action-fr/climate-crisis-will-affect-our-health-from-dwindling-bees-to-food-insecurity/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:45:08 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/climate-crisis-will-affect-our-health-from-dwindling-bees-to-food-insecurity/ Notre utilisation excessive des combustibles fossiles continue de compromettre notre avenir. Il semble que chaque jour, les mĂ©dias rapportent des preuves alarmantes du changement climatique : des records de chaleur sont atteints en Australie tandis que les feux de brousse ravagent le pays comme jamais auparavant; le pergĂ©lisol du Labrador fond et le niveau des ocĂ©ans […]

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Notre utilisation excessive des combustibles fossiles continue de compromettre notre avenir.

Il semble que chaque jour, les mĂ©dias rapportent des preuves alarmantes du changement climatique : des records de chaleur sont atteints en Australie tandis que les feux de brousse ravagent le pays comme jamais auparavant; le pergĂ©lisol du Labrador fond et le niveau des ocĂ©ans continue de monter, menaçant les Ă®les et les cĂ´tes Ă  faible altitude.

Des chercheurs de l’UniversitĂ© şÚÁĎappnous prĂ©viennent que la crise climatique est sur le point de devenir une crise sanitaire.

Photo of Steven Hoffman
Steven Hoffman

« L’Organisation mondiale de la santĂ© l’a qualifiĂ©e de dĂ©fi majeur de notre siècle en matière de santĂ© publique, dĂ©clare Steven Hoffman, professeur et directeur du Global Strategy Lab de l’UniversitĂ© York. C’est une bonne Ă©valuation de la situation. Ce qui rend le changement climatique accablant, c’est qu’il est causĂ© par la civilisation humaine et qu’il a des rĂ©percussions sur tout ce que nous faisons. Â»

Dawn Bazely, professeure de biologie à York, a consacré ses trente années de carrière universitaire à la compréhension des espèces végétales envahissantes. Observer l’évolution du climat est essentiel à son travail.

Photo of Dawn Bazely
Dawn Bazely

Elle explique qu’avec le changement climatique qui rĂ©chauffe la planète, des pays nordiques comme le Canada voient apparaĂ®tre pour la première fois certaines espèces de plantes et d’insectes. « Partout oĂą il y a une tendance au rĂ©chauffement, nous allons voir les maladies dominantes en zones tropicales et subtropicales s’étendre Ă  d’autres rĂ©gions. C’est pourquoi, ajoute-t-elle, on observe davantage de cas de virus du Nil occidental (transmis par les moustiques) et de maladie de Lyme (transmis par les tiques) au Canada. Â»

Sheila Colla, professeure adjointe Ă  la FacultĂ© d’études environnementales de York, signale que le dĂ©clin de la population des abeilles aura des rĂ©percussions sĂ©rieuses sur notre santĂ©. Mme Colla a constatĂ© des rĂ©ductions importantes du nombre de bourdons originaires du Canada.

Elle souligne que toutes les espèces d’abeilles sont sensibles aux changements météorologiques causés par le changement climatique. Un printemps précoce ou tardif, par exemple, peut modifier la croissance des fruits, légumes et fleurs pollinisés par les abeilles. Cela affecte leur capacité à se reproduire. Sans abeilles, nous avons moins de nourriture et, par conséquent, moins de sources de nutrition.

Photo of Sheila Colla
Sheila Colla

« Un tiers de notre alimentation est pollinisĂ© par des animaux, principalement des abeilles Â», explique Mme Colla. Elle ajoute que les abeilles pollinisent une grande variĂ©tĂ© de cultures et, surtout, les aliments qui contiennent des antioxydants, comme les tomates, les baies, le chou frisĂ© et la laitue.

« Contrairement aux abeilles domestiques, les bourdons ne produisent pas de miel, mais ils sont d’excellents pollinisateurs, note Mme Colla. Il faut plus d’un type d’abeille pour polliniser nos cultures et pour que nous ayons un rĂ©gime alimentaire variĂ© et riche en vitamines… Nous devons absolument sauver tous nos pollinisateurs. Â»

Pour Mark Terry, chercheur post-doctoral et réalisateur de documentaires à York, la réalité du changement climatique et ses dégâts sur les espèces vivantes sont étonnamment visibles aux pôles Nord et Sud.

Quand il a emmené une équipe en Antarctique pour tourner The Antarctica Challenge: A Global Warning en 2010, il a filmé des phoques aveuglés par l’augmentation des rayons ultraviolets du soleil et des manchots s’éloignant de leurs habitats côtiers traditionnels pour aller vers l’intérieur des terres, cherchant désespérément de la nourriture. En effet, leur nourriture principale – le krill, un crustacé présent dans les eaux de l’Antarctique – est en train de disparaître en raison du réchauffement des températures océaniques.

Photo of Mark Terry
Mark Terry

Le Malawi, dans le sud-est de l’Afrique, met en Ă©vidence la disparitĂ© du changement climatique. Il fait partie des pays les plus pauvres du monde et son Ă©conomie dĂ©pend de l’agriculture. Le maĂŻs est la principale culture vivrière. Mais le rendement des cultures de maĂŻs a rĂ©cemment chutĂ© de 34 %.

« Le maĂŻs a besoin d’une certaine quantitĂ© de lumière solaire et de prĂ©cipitations, explique James Orbinski, directeur de l’Institut Dahdaleh de recherche en santĂ© mondiale (DIGHR) de şÚÁĎappet ancien prĂ©sident international de MĂ©decins Sans Frontières (Doctors Without Borders). Avec le changement climatique, le Malawi connaĂ®t dĂ©sormais des pĂ©riodes de sĂ©cheresse prolongĂ©es. La rĂ©gion australe de l’Afrique connaĂ®t sa pire sĂ©cheresse depuis 100 ans. Les cĂ©lèbres chutes Victoria coulent au compte-gouttes et les robinets s’assèchent. Plus de 45 millions de personnes dĂ©pendent d’une aide alimentaire en raison des mauvaises rĂ©coltes. Cela est dĂ» au changement climatique. Â»

Photo of James Orbinski
James Orbinski

M. Orbinski pointe du doigt une ironie cruelle : « Les rĂ©gions les plus touchĂ©es par le changement climatique sont les plus pauvres et les moins dĂ©veloppĂ©es. Elles sont les moins rĂ©silientes et possèdent les systèmes sociaux, politiques et infrastructurels les moins flexibles. Ce qui est ironique, c’est qu’elles sont les moins responsables des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre. Â»

Y a-t-il un espoir d’attĂ©nuer ce qui pourrait ĂŞtre une catastrophe sanitaire mondiale? Les chercheurs de şÚÁĎappsont optimistes, Ă  condition d’agir maintenant.

Selon Mme Bazely, cela commence par le partage des connaissances. « Comment pouvons-nous Ă©quiper les populations locales partout et les universitaires en dehors de l’hĂ©misphère nord? Comment diffuser largement la recherche et les connaissances? Je m’intĂ©resse beaucoup au libre accès et Ă  la possibilitĂ© de faire Ă©merger la recherche financĂ©e par les contribuables des systèmes de bibliothèques universitaires. Tant d’universitaires, de chercheurs et de personnes de l’hĂ©misphère sud n’ont tout simplement pas accès aux connaissances qui se cachent derrière des murs coĂ»teux. Â»

Pour M. Orbinski, la prioritĂ© est de « voir la relation symbiotique entre notre biosphère et les civilisations humaines qui dĂ©finit la santĂ© planĂ©taire. Il s’agit aussi de dĂ©velopper des outils, des technologies et des politiques qui aident les communautĂ©s Ă  s’adapter Ă  la nouvelle rĂ©alitĂ© des effets du changement climatique sur la santĂ©. Nous y travaillons activement au DIGHR. Â»

M. Hoffman compare l’action mondiale que nous devons entreprendre pour lutter contre le changement climatique Ă  l’action entreprise pour combattre les pandĂ©mies. « Les maladies infectieuses se propagent Ă  travers les frontières. Les virus n’ont pas de passeport. Par consĂ©quent, si nous voulons vraiment protĂ©ger notre santĂ© contre la prochaine pandĂ©mie, nous devons rĂ©flĂ©chir et agir au niveau mondial, exactement de la mĂŞme façon que pour les changements climatiques. Â»

M. Terry nous exhorte Ă  aider les jeunes Ă  s’engager dans l’action visant Ă  enrayer le changement climatique. Dans le cadre de son travail postdoctoral Ă  l’Institut Dahdaleh, il donne un cours axĂ© sur la rĂ©alisation de documentaires et l’activisme environnemental. Il a Ă©galement dirigĂ© une Ă©quipe composĂ©e de ses Ă©tudiants lors d’une grève climatique « Fridays for Future Â» Ă  Toronto et a accueilli un groupe d’étudiants autochtones de Tuktoyaktuk lors de la COP 25 Ă  Madrid en dĂ©cembre 2019.

« Ce sont les Ă©tudiants qui nous mèneront vers les rĂ©formes nĂ©cessaires au maintien d’une planète saine. C’est pourquoi le remarquable travail de Greta Thunberg est si important. Je crois qu’aujourd’hui, notre objectif dans les universitĂ©s est de fournir aux Ă©tudiants les connaissances et les outils dont ils auront besoin pour continuer le combat. Â»

Pour en savoir plus sur Steven Hoffman, visitez sa . Pour en savoir plus sur Dawn Bazely, consultez son . Pour en savoir plus sur les recherches de Sheila Colla, consultez sa . Pour en savoir plus sur Mark Terry, visitez sa . Pour en savoir plus sur James Orbinski, consultez son .

Pour en savoir plus sur la recherche et l’innovation à York, suivez-nous à ; visionnez notre qui met en vedette les secteurs actuels de recherche et les domaines à explorer comme l’intelligence artificielle et les futurs autochtones; vous pouvez aussi visionner cette qui illustre les succès de l’année.

Paul Fraumeni est un Ă©crivain indĂ©pendant primĂ©, spĂ©cialisĂ© dans la couverture de la recherche universitaire depuis plus de 20 ans. Pour en savoir plus, visitez son .

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La base de donnĂ©es sur l’eau douce aide les chercheurs du monde entier /unsdgs/life-below-water-fr/freshwater-database-helps-researchers-around-the-world/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:44:50 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/freshwater-database-helps-researchers-around-the-world/ Pictured here: Sapna Sharma Ă€ l’heure oĂą le monde est confrontĂ© aux consĂ©quences mondiales du changement climatique, l’eau douce dans les lacs de la planète sera au centre des prĂ©occupations.  L’eau des lacs reprĂ©sente moins d’un pour cent de l’approvisionnement mondial en eau douce de surface, mais elle fournit des services Ă©cosystĂ©miques essentiels, notamment en matière […]

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Pictured here: Sapna Sharma

À l’heure où le monde est confronté aux conséquences mondiales du changement climatique, l’eau douce dans les lacs de la planète sera au centre des préoccupations. 

L’eau des lacs reprĂ©sente moins d’un pour cent de l’approvisionnement mondial en eau douce de surface, mais elle fournit des services Ă©cosystĂ©miques essentiels, notamment en matière de consommation, de transport, d’agriculture et de loisirs, en plus de constituer un habitat pour plus de 100 000 espèces d’invertĂ©brĂ©s, d’insectes, d’animaux et de plantes. Cependant, les lacs d’eau douce sont vulnĂ©rables aux effets de l’encrassement de l’eau, de l’enrichissement en nutriments et des modifications du climat et de l’utilisation des terres, en raison de leur sensibilitĂ© aux changements environnementaux locaux et mondiaux.

Pour relever ce dĂ©fi, des chercheurs de l’UniversitĂ© şÚÁĎapptravaillant dans le laboratoire de Sapna Sharma, professeure agrĂ©gĂ©e de biologie, ont crĂ©Ă© une base de donnĂ©es publique sur la qualitĂ© de l’eau d’environ 12 000 lacs d’eau douce dans le monde entier, qui aidera les scientifiques Ă  surveiller et Ă  gĂ©rer la santĂ© de ces lacs, entre autres. L’étude a permis de recueillir des donnĂ©es dans 72 pays, dont des centaines de lacs au Canada, et constitue un exemple de recherche innovante qui a dĂ©jĂ  un effet positif et de grande envergure sur les communautĂ©s du monde entier.

« La crĂ©ation de cette base de donnĂ©es est un exploit qui n’est gĂ©nĂ©ralement accompli que par de très grandes Ă©quipes disposant de millions de dollars, et non par un seul laboratoire disposant de quelques petites subventions. C’est pourquoi je suis particulièrement fière de cette recherche Â», dĂ©clare Mme Sharma.

Les chercheurs ont passĂ© en revue 3 322 Ă©tudes remontant jusqu’aux annĂ©es 1950, ainsi que des rĂ©fĂ©rentiels de donnĂ©es en ligne afin de recueillir des informations sur les niveaux de chlorophylle, un marqueur couramment utilisĂ© pour dĂ©terminer la santĂ© des lacs et des Ă©cosystèmes. La chlorophylle est un indicateur de la quantitĂ© de vĂ©gĂ©tation et d’algues dans les lacs, appelĂ©e production primaire. Selon Mme Sharma, le rĂ©chauffement des tempĂ©ratures estivales et l’augmentation du rayonnement solaire due Ă  la diminution de la couverture nuageuse contribuent Ă  une augmentation de la chlorophylle, tandis que l’augmentation du nombre de tempĂŞtes causĂ©e par le changement climatique contribue Ă  la dĂ©gradation de la qualitĂ© de l’eau.

« L’activitĂ© humaine, le rĂ©chauffement climatique, le ruissellement agricole et urbain et le phosphore provenant de l’utilisation des terres peuvent tous augmenter le niveau de chlorophylle dans les lacs Â», explique Alessandro Filazzola, chercheur postdoctoral et l’un des responsables de l’étude. « La production primaire est surtout reprĂ©sentĂ©e par la quantitĂ© de chlorophylle dans le lac qui a un impact en cascade… Si la chlorophylle est trop faible, elle peut avoir des effets nĂ©gatifs en cascade sur l’ensemble de l’écosystème, tandis que si elle est trop importante, elle peut provoquer une abondance de la croissance des algues, ce qui n’est pas toujours bon. Â» Selon Mme Sharma, la base de donnĂ©es peut ĂŞtre utilisĂ©e pour mieux comprendre comment les niveaux de chlorophylle rĂ©agissent aux changements environnementaux mondiaux. « Elle fournit des comparaisons de base aux gestionnaires de l’environnement chargĂ©s de maintenir la qualitĂ© de l’eau et la santĂ© de nos lacs et des communautĂ©s qu’ils soutiennent. Â»

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Une classe de biologie se rend dans les cours arrière des Ă©tudiants pendant la pandĂ©mie  /unsdgs/life-on-land-fr/biology-class-takes-to-students-backyards-during-pandemic/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:44:23 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/biology-class-takes-to-students-backyards-during-pandemic/ Pictured here: Laura McKinnon Ce type de recherche — qui a assurĂ© le renom de l’UniversitĂ© şÚÁĎappau Canada et dans le monde entier — fait progresser les connaissances, crĂ©e des changements positifs et est un tremplin pour les futures carrières de nos Ă©tudiantes et Ă©tudiants qui souhaitent changer la donne dans leurs communautĂ©s. Mais […]

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Pictured here: Laura McKinnon

Ce type de recherche — qui a assurĂ© le renom de l’UniversitĂ© şÚÁĎappau Canada et dans le monde entier — fait progresser les connaissances, crĂ©e des changements positifs et est un tremplin pour les futures carrières de nos Ă©tudiantes et Ă©tudiants qui souhaitent changer la donne dans leurs communautĂ©s. Mais que faire lorsqu’une pandĂ©mie mondiale entrave cette recherche? Si vous ĂŞtes la professeure de biologie du campus Glendon , vous faites en sorte que les Ă©tudiantes et Ă©tudiants mènent des recherches dans leur cour, au sens propre.  

Le cours de Mme McKinnon, intitulĂ© « Ecological Monitoring in an Urban Environment », est un cours obligatoire de 12 jours dans le cadre du Programme des universitĂ©s ontariennes d’études sur le terrain. En temps normal, les Ă©tudiants et Ă©tudiantes baguent des oiseaux, cherchent les nids de pluviers kildir et visitent un programme de marquage de tortues. Une grande partie de ce travail est habituellement effectuĂ©e dans le vaste rĂ©seau de ravins de Toronto.  

Cependant, en raison du confinement de la pandĂ©mie, les Ă©tudiants de McKinnon ne pouvaient pas aller sur le terrain, alors elle a crĂ©Ă© un cours en ligne oĂą la recherche se dĂ©roulait dans leur cour.  

Afin de pouvoir soutenir chaque Ă©tudiant et leur fournir tout le matĂ©riel nĂ©cessaire au travail sur le terrain, Mme McKinnon a limitĂ© les inscriptions à 10 au lieu de 20. Elle s’est assurĂ©e que chacun de ses apprenants disposait d’un espace vert et les a ensuite invitĂ©s Ă  rĂ©cupĂ©rer une trousse d’études sur le terrain, qui comprenait des jumelles, un carnet de terrain, des guides de poche, un appareil de Berlese, un microscope de dissection et des appareils de surveillance bioacoustique.  

Le cours modifiĂ© de McKinnon s’est dĂ©roulĂ© sur deux semaines. La première semaine du cours Ă©tait consacrĂ©e Ă  l’enseignement des techniques de recherche dans la cour arrière, Ă  des travaux comme apprendre Ă  prendre de bonnes notes sur le terrain, Ă  identifier des oiseaux et Ă  en faire un dĂ©nombrement ponctuel. Elle a organisĂ© des sĂ©ances distinctes sur la rĂ©daction scientifique, la surveillance bioacoustique (cris et chants d’oiseaux et de chauves-souris) et sur la statistique. La deuxième semaine Ă©tait rĂ©servĂ©e Ă  la recherche : les Ă©tudiants et Ă©tudiantes ont travaillĂ© sur un projet de recherche par Ă©quipes de deux.  

« Après avoir acquis des techniques d’échantillonnage en ornithologie, en mammalogie, en entomologie et en botanique, chaque Ă©tudiant devenait le chercheur principal de son propre site de recherche, collectant les donnĂ©es individuellement selon les protocoles Ă©cologiques standards. Ensuite, il fallait ajouter ces donnĂ©es au rĂ©seau des huit sites de recherche Ă  divers endroits de Toronto, explique la professeure. Que ces sites de recherche aient Ă©tĂ© la cour arrière des Ă©tudiants n’enlevait rien Ă  leur capacitĂ© d’entreprendre des projets de recherche scientifique sur des questions Ă©cologiques fondamentales en Ă©cologie urbaine. »  

Ce cours n’était pas de tout repos. Il fallait se lever Ă  l’aube pour faire un dĂ©nombrement ponctuel des oiseaux vus ou entendus et recommencer Ă  la brunante. Il fallait aussi se rĂ©unir Ă  8 h pour partager les donnĂ©es rĂ©coltĂ©es et discuter des problèmes et activitĂ©s.  

Une Ă©quipe a mesurĂ© les frĂ©quences (en hertz) minimales et maximales des cris des merles d’AmĂ©rique au cours de la pĂ©riode de 10 jours de collecte des donnĂ©es. Ils ont Ă©galement mesurĂ© les niveaux ambiants de bruit anthropique. Ils ont ensuite vĂ©rifiĂ© si la frĂ©quence des cris d’oiseaux changeait pour compenser l’augmentation du bruit dans les zones urbaines plus frĂ©quentĂ©es.  

« En discutant de leurs rĂ©sultats, les Ă©tudiantes et Ă©tudiants peuvent s’appuyer sur les thĂ©ories qu’ils ont apprises dans leurs cours d’écologie, a dĂ©clarĂ© Mme McKinnon. Bien que leurs rĂ©sultats soient Ă  petite Ă©chelle et ne puissent pas ĂŞtre publiĂ©s, il y avait quelques bonnes idĂ©es Ă  poursuivre. »  

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şÚÁĎappannonce le lancement du Centre des connaissances et des langues autochtones (CIKL) /unsdgs/peace-justice-and-strong-institutions-fr/york-announces-launch-of-centre-for-indigenous-knowledges-and-languages/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:43:42 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/york-announces-launch-of-centre-for-indigenous-knowledges-and-languages/ Pictured here: Deborah McGregor şÚÁĎappannonce le lancement du Centre des connaissances et des langues autochtones (CIKL) Le Centre des connaissances et des langues autochtones (CIKL) offre un espace de crĂ©ation Ă  l’UniversitĂ© şÚÁĎappet ailleurs pour faire progresser la mission professorale, les thĂ©ories de recherche, les mĂ©thodologies et les pratiques autochtones qui favorisent une […]

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Pictured here: Deborah McGregor

şÚÁĎappannonce le lancement du Centre des connaissances et des langues autochtones (CIKL)

Le Centre des connaissances et des langues autochtones (CIKL) offre un espace de crĂ©ation Ă  l’UniversitĂ© şÚÁĎappet ailleurs pour faire progresser la mission professorale, les thĂ©ories de recherche, les mĂ©thodologies et les pratiques autochtones qui favorisent une comprĂ©hension approfondie des buts et des aspirations des peuples autochtones. Le CIKL favorise les collaborations et les partenariats entre les peuples autochtones et d’autres personnes et crĂ©e un espace Ă©thique pour le dialogue sur la façon dont les relations de recherche peuvent ĂŞtre envisagĂ©es, nĂ©gociĂ©es et pratiquĂ©es Ă  l’appui de l’avenir autochtone.

Le CIKL crée également des occasions de dialogue critique, de réflexion et de changement tout en s’attaquant à certains des défis les plus pressants du monde, affirme Deborah McGregor, directrice inaugurale du Centre, spécialiste en droit et en environnement.

NommĂ©e rĂ©ciproquement entre l’École de droit Osgoode Hall et la FacultĂ© des changements environnementaux et urbains, madame McGregor est Anishinaabe de la Première Nation de Whitefish River. Elle possède une vaste expĂ©rience de recherche axĂ©e sur les systèmes de connaissances autochtones et leurs applications dans les domaines de l’eau, de la gouvernance environnementale, de la justice environnementale et climatique et de l’avenir durable autodĂ©terminĂ©.

« Le lancement du CIKL offre un espace vital pour les chercheurs autochtones et tous ceux qui participent Ă  la dĂ©colonisation des Ă©tudes, Ă  şÚÁĎappet ailleurs. Le Centre jouera un rĂ´le important en revigorant et en diffusant des recherches novatrices axĂ©es sur les Autochtones qui ont lieu Ă  l’UniversitĂ© şÚÁĎappet ailleurs Â», a dĂ©clarĂ© Amir Asif, vice-prĂ©sident de la recherche et de l’innovation de York.

Le professeur Sean Hillier, qui deviendra directeur associĂ© du CIKL, se joint Ă  madame McGregor Ă  titre de chef de recherche. Il a rĂ©cemment Ă©tĂ© nommĂ© titulaire de la Chaire de recherche şÚÁĎappsur les politiques de santĂ© autochtones et One Health. M. Hillier est un universitaire mi’kmaw queer de la Première Nation Qalipu et professeur adjoint Ă  l’École de politique sanitaire et de gestion. Sa recherche concertĂ©e porte sur les thèmes du vieillissement, de la vie avec le VIH, des maladies infectieuses et de la rĂ©sistance aux antimicrobiens, tout en mettant l’accent sur les politiques touchant l’accès aux soins de santĂ© pour les peuples autochtones du Canada.

« Le fait de disposer de ressources et d’espaces consacrĂ©s Ă  la recherche autochtone, comme l’offre le nouveau CIKL, gĂ©rĂ© par et pour les peuples autochtones sur le campus, constitue une première Ă©tape essentielle Â», affirme Hillier. « Ce centre aidera şÚÁĎappĂ  devenir un Ă©tablissement Ă  forte intensitĂ© de recherche, ce qui sert les principes du Cadre autochtone et du Plan acadĂ©mique universitaire. Â»

que l’un des objectifs du Centre est d’« accroĂ®tre la visibilitĂ© des chercheurs et de leurs compĂ©tences en recherche, qu’ils soient professeurs ou Ă©tudiants, afin que les communautĂ©s autochtones puissent avoir une idĂ©e de ce que font les gens et sachent qu’il y a des recherches auxquelles elles peuvent participer. Â» Le Centre veut « mettre en Ă©vidence le rĂ´le des connaissances, des traditions juridiques et de la langue autochtones pour aider Ă  rĂ©soudre les problèmes auxquels l’humanitĂ© est confrontĂ©e Â», a-t-elle ajoutĂ©. « Je pense que les universitĂ©s ont des obligations au-delĂ  des frontières de s’assurer que les connaissances soient diffusĂ©es et que l’éducation offerte soit accessible. Â»

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Ouverture Ă  şÚÁĎappdu premier Centre canadien de formation en leadership de l’ONU /unsdgs/partnerships-for-the-goals-fr/first-canadian-un-leadership-training-centre-opening-at-york/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:43:08 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/first-canadian-un-leadership-training-centre-opening-at-york/ Pictured here: Idil Boran (left) and Ali Asgary (right) Ouverture Ă  şÚÁĎappdu premier Centre canadien de formation en leadership de l’ONU Ă€ l’UniversitĂ© York, nous pensons que la meilleure façon de relever les dĂ©fis est de se rassembler pour les affronter. Et aucun dĂ©fi n’est plus pressant que le changement climatique, ici et dans le […]

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Pictured here: Idil Boran (left) and Ali Asgary (right)

Ouverture Ă  şÚÁĎappdu premier Centre canadien de formation en leadership de l’ONU

À l’Université York, nous pensons que la meilleure façon de relever les défis est de se rassembler pour les affronter. Et aucun défi n’est plus pressant que le changement climatique, ici et dans le monde.  

Dans le cadre de notre engagement Ă  un monde plus durable sur les plans social, Ă©conomique et environnemental, şÚÁĎappa annoncĂ© en juin 2021, en collaboration avec l’Institut des Nations Unies pour la formation et la recherche), qu’elle accueillerait le premier Centre international de formation des acteurs locaux (CIFAL) du Canada.

Les CIFAL offrent des formations innovantes partout au monde et servent de centres d’échange de connaissances pour la fonction publique, le secteur privé, le monde universitaire et la société civile.

Ce nouveau partenariat avec UNITAR reconnaĂ®t le leadership de şÚÁĎappdans l’avancement de la recherche fondamentale et appliquĂ©e, dans l’innovation et dans sa capacitĂ© Ă  travailler au-delĂ  des frontières traditionnelles en mettant au point de nouvelles approches pour rĂ©pondre aux demandes les plus urgentes de la sociĂ©tĂ©.

CIFAL şÚÁĎappsera particulièrement bien placĂ© pour contribuer Ă  la rĂ©alisation des en matière de gestion des urgences et des catastrophes, de diversitĂ© et d’inclusion, de dĂ©veloppement Ă©conomique, de santĂ© et d’entrepreneuriat. CIFAL şÚÁĎappsera un catalyseur de changement positif et Ă©tendra encore plus la portĂ©e mondiale de York.

« Le monde est confrontĂ© Ă  des problèmes complexes – de la crise climatique aux inĂ©galitĂ©s en passant par les changements technologiques rapides et la pandĂ©mie – dont la rĂ©solution nĂ©cessite une collaboration entre les secteurs et les pays, dĂ©clare Rhonda Lenton, prĂ©sidente et vice-chancelière de York. La crĂ©ation de ce CIFAL, en partenariat avec UNITAR, nous permettra de rĂ©unir des leaders des gouvernements, d’organisations Ă  but non lucratif et d’entreprises, ainsi que des chercheurs et des Ă©ducateurs afin de partager leurs expĂ©riences et leur expertise, et de former de nouvelles gĂ©nĂ©rations de dirigeants mondiaux. Â»

« La rĂ©putation exceptionnelle de l’UniversitĂ© şÚÁĎappen a fait un choix Ă©vident lorsque les Nations Unies, par l’intermĂ©diaire d’UNITAR, ont commencĂ© Ă  envisager un partenariat avec un Ă©tablissement universitaire au Canada pour partager les connaissances et les meilleures pratiques Â», a dĂ©clarĂ© Nikhil Seth, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint des Nations Unies et directeur gĂ©nĂ©ral d’UNITAR. « Je compte les institutions universitaires parmi les alliĂ©es les plus prĂ©cieuses d’UNITAR. Sans elles, nous ne pourrons atteindre les objectifs de l’Agenda 2030. Â»

şÚÁĎappa Ă©galement nommĂ© le au titre de nouveau directeur de CIFAL York. En collaboration avec le , l’important exercice d’établissement de partenariats stratĂ©giques pour faire avancer la vision a commencĂ© le 1er juin 2021.

En outre, CIFAL şÚÁĎappfournira une plateforme de dialogue et un forum pour le dĂ©veloppement de nouvelles idĂ©es en offrant aux fonctionnaires, aux dĂ©cideurs et aux universitaires de nouvelles occasions d’apprentissage pour faciliter le partage des connaissances et amĂ©liorer les processus de prise de dĂ©cision. « En accueillant un CIFAL Ă  l’UniversitĂ© York, nous Ă©largissons les possibilitĂ©s de collaboration entre tous les niveaux de gouvernement, les organisations internationales, le monde des affaires et le secteur public afin de continuer Ă  bâtir des communautĂ©s fortes, solidaires et sĂ©curitaires oĂą chacun peut dĂ©velopper son plein potentiel Â», a dĂ©clarĂ© Wayne Emmerson, prĂ©sident et chef de la direction de la rĂ©gion de York.

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Des solutions mondiales pour une eau potable plus propre /unsdgs/clean-water-and-sanitation-fr/global-solutions-for-cleaner-drinking-water/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:39:09 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/global-solutions-for-cleaner-drinking-water/ Pictured here: Satinder Kaur Brar Ă€ l’UniversitĂ© York, nous nous attaquons Ă  des problèmes mondiaux complexes et nous prĂ©parons les Ă©tudiants Ă  une rĂ©ussite Ă  long terme. L’un des plus grands dĂ©fis Ă  relever aujourd’hui est de faire en sorte que davantage de personnes aient accès Ă  une eau potable sĂ»re et propre. C’est l’objet […]

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Pictured here: Satinder Kaur Brar

À l’Université York, nous nous attaquons à des problèmes mondiaux complexes et nous préparons les étudiants à une réussite à long terme. L’un des plus grands défis à relever aujourd’hui est de faire en sorte que davantage de personnes aient accès à une eau potable sûre et propre.

C’est l’objet des travaux menés aujourd’hui dans le laboratoire dirigé par la professeure Satinder Kaur Brar, titulaire de la chaire James et Joanne Love en génie environnemental. Elle dirige des projets de recherche qui appliquent des solutions innovantes au problème mondial de la contamination de l’eau.

L’un de ces projets a conduit au développement d’un biofiltre capable d’éliminer les cyanotoxines des sources d’eau de surface. Ces toxines, qui sont causées par les algues bleues, peuvent avoir des effets négatifs sur la santé allant des éruptions cutanées à des maladies graves et, dans de rares cas, à la mort.

Les Grands Lacs, principale source d’eau potable pour huit millions de Canadiens et d’Américains, ont connu une forte augmentation de la prolifération des algues ces dernières années.

Avec une dĂ©termination inĂ©branlable pour faire une diffĂ©rence, le chercheur postdoctoral Pratik Kumar a dĂ©cidĂ© de mettre au point une solution durable et Ă©conomique Ă  l’échelle d’un mĂ©nage. Après avoir explorĂ© plusieurs options, il a optĂ© pour une solution qui semblait simple : le sable. Du sable recouvert de graphite, pour ĂŞtre exact.

Ce choix Ă©tait particulièrement important, car M. Kumar s’est rendu compte dès le dĂ©but du projet que les utilisateurs seraient probablement peu Ă  l’aise avec l’utilisation de bactĂ©ries ou de composĂ©s biologiques pour traiter leur eau potable. Autre avantage, le sable graphitĂ© utilisĂ© dans son filtre peut ĂŞtre obtenu par des mĂ©thodes durables, en rĂ©utilisant des dĂ©chets existants.

Le rĂ©sultat est un nouveau type de biofiltre qui rĂ©duit la concentration de cyanotoxines Ă  0,61 Âµg/L, soit moins que la concentration critique de 1 Âµg/L Ă©tablie par l’Organisation mondiale de la santĂ©. M. Kumar a publiĂ© les rĂ©sultats de ses travaux dans la revue Science of the Total Environment et a Ă©tĂ© rĂ©compensĂ© par l’International Water Association en recevant le prix Young Water Professionals Canada Award. Il a rejoint cette organisation après avoir terminĂ© son doctorat afin de soutenir les collaborations entre professionnels de l’eau et pour faire connaĂ®tre la recherche et les technologies de l’eau dĂ©veloppĂ©es au Canada.

« Tout le monde dans le laboratoire est incroyablement fier de ce que Pratik accomplit pour aider Ă  fournir de l’eau potable aux gens, dit Mme Brar. Faire passer notre travail du laboratoire au terrain est notre objectif ultime. Non seulement il y parvient, mais son travail est reconnu, ce qui ne peut qu’aider chacun d’entre nous dans notre recherche de nouvelles façons d’éliminer les polluants de notre ressource la plus prĂ©cieuse. Il quitte notre laboratoire et il va nous manquer, mais c’est l’Inde qui en profitera. Nous lui souhaitons beaucoup de succès. Â»

Pratik Kumar a Ă©tĂ© nommĂ© professeur Ă  l’Institut indien de technologie (IIT) de Jammu et a commencĂ© en avril 2021. Son attention s’est portĂ©e sur son pays d’origine, oĂą la nĂ©cessitĂ© d’éliminer les toxines et autres polluants primaires des sources d’eau est plus grande, car moins de la moitiĂ© de la population a facilement accès Ă  l’eau potable. Avec l’accent mis par Pratik Kumar sur l’Inde, Mme Brar et ses collègues de l’UniversitĂ© şÚÁĎappcontinueront Ă  Ă©tudier d’autres moyens de fournir de l’eau potable aux populations du monde entier.

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şÚÁĎappprĂ©sente un nouveau conseil afin de respecter son engagement en matière d’égalitĂ©, de diversitĂ© et d’inclusion /unsdgs/reduced-inequalities-fr/york-introduces-new-council-to-deliver-on-commitment-to-edi/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:38:29 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/york-introduces-new-council-to-deliver-on-commitment-to-edi/ Pictured here: Sheila Cote-Meek Ă€ l’UniversitĂ© York, nous nous sommes engagĂ©s Ă  favoriser un environnement d’apprentissage favorable et inclusif qui valorise la diversitĂ©. şÚÁĎappmet de l’avant un certain nombre d’initiatives audacieuses dans l’ensemble de l’UniversitĂ© qui donnent vie Ă  notre engagement.  L’annĂ©e dernière, l’UniversitĂ© a annoncĂ© la crĂ©ation du Conseil consultatif de la prĂ©sidente […]

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Pictured here: Sheila Cote-Meek

Ă€ l’UniversitĂ© York, nous nous sommes engagĂ©s Ă  favoriser un environnement d’apprentissage favorable et inclusif qui valorise la diversitĂ©. şÚÁĎappmet de l’avant un certain nombre d’initiatives audacieuses dans l’ensemble de l’UniversitĂ© qui donnent vie Ă  notre engagement. 

L’annĂ©e dernière, l’UniversitĂ© a annoncĂ© la crĂ©ation du Conseil consultatif de la prĂ©sidente sur l’équitĂ©, la diversitĂ© et l’inclusion (EDI), composĂ© de membres du corps professoral et du personnel de şÚÁĎappavec une diversitĂ© de perspectives, d’expĂ©riences vĂ©cues et de talents. Le groupe s’engage dans un processus de consultation et de collaboration pour dĂ©velopper un cadre et une stratĂ©gie qui feront progresser l’EDI Ă  York.

Le Conseil a Ă©tĂ© officiellement lancĂ© en novembre 2020. Il est prĂ©sidĂ© par Sheila Cote-Meek, vice-prĂ©sidente de l’équitĂ©, des personnes et de la culture.

« Ă€ York, nous considĂ©rons l’équitĂ©, la diversitĂ© et l’inclusion comme essentielles Ă  notre mission de former la prochaine gĂ©nĂ©ration de leaders – des personnes qui façonneront l’avenir du Canada et du monde Â», a dĂ©clarĂ© Sheila Cote-Meek. « Une seule voix rĂ©duite au silence nous empĂŞche de remplir cette mission et nous diminue tous. Je suis vraiment reconnaissante Ă  tous les membres de la communautĂ© universitaire qui se sont manifestĂ©s, ont fait entendre leur voix et ont contribuĂ© Ă  faire avancer ces initiatives cruciales. Â»

Au cours de ses premiers mois, le Conseil a solidifiĂ© son mandat et sa structure et a procĂ©dĂ© Ă  une analyse de l’environnement des meilleures pratiques d’EDI et celles les plus prometteuses dans les Ă©tablissements postsecondaires, y compris une analyse complète des pratiques existantes Ă  York. Une Ă©valuation plus approfondie dans une optique intersectionnelle a suivi et un projet de stratĂ©gie d’EDI Ă  l’échelle de l’universitĂ© sera prochainement diffusĂ© auprès des membres de şÚÁĎapppour consultation et commentaires.

Le Conseil a Ă©galement parrainĂ© Insights, une sĂ©rie de confĂ©rences sur l’EDI, afin d’informer et d’inspirer les membres de la communautĂ© et d’encourager un dialogue ouvert et une rĂ©flexion critique sur les questions, les stratĂ©gies et la planification de l’EDI. Les deux premiers Ă©vĂ©nements virtuels de la sĂ©rie ont eu lieu Ă  l’hiver 2021, en prĂ©sence de centaines de personnes.

En septembre, Mme Cote-Meek a annoncĂ© la nomination de la professeure Susan D. Dion au poste inaugural de vice-prĂ©sidente associĂ©e aux affaires autochtones. Mme Dion s’est jointe Ă  l’UniversitĂ© şÚÁĎappen 2001 et a Ă©tĂ© la première Autochtone du corps professoral Ă  ĂŞtre embauchĂ©e Ă  la FacultĂ© d’éducation de York. Elle a travaillĂ© avec les Ă©tudiants autochtones et l’administration de l’UniversitĂ© pour rĂ©pondre aux besoins et aux intĂ©rĂŞts dĂ©finis par la communautĂ© Ă©tudiante en dĂ©fendant et en soutenant la crĂ©ation des Services aux Ă©tudiants autochtones et du Centre des services aux Ă©tudiants autochtones de York. Mme Dion a Ă©tĂ© l’une des membres fondateurs du Conseil autochtone de şÚÁĎappet en a Ă©tĂ© la coprĂ©sidente pendant trois mandats entre 2004 et 2015.

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Le nouveau bâtiment primĂ© incarne l’excellence en matière de pratiques durables /unsdgs/industry-innovation-and-infrastructure-fr/award-winning-new-building-embodies-excellence-in-sustainable-practices/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:38:05 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/award-winning-new-building-embodies-excellence-in-sustainable-practices/ Pictured here: James McKellar La durabilitĂ© est un principe directeur de notre fonctionnement quotidien ainsi que de notre manière de construire et de nous dĂ©velopper pour l’avenir. La preuve de l’engagement de l’UniversitĂ© şÚÁĎappĂ  l’égard d’un avenir plus durable se trouve dans le bâtiment d’études supĂ©rieures et de recherche Rob et Cheryl McEwen. Ouvert […]

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Pictured here: James McKellar

La durabilitĂ© est un principe directeur de notre fonctionnement quotidien ainsi que de notre manière de construire et de nous dĂ©velopper pour l’avenir. La preuve de l’engagement de l’UniversitĂ© şÚÁĎappĂ  l’égard d’un avenir plus durable se trouve dans le . Ouvert en 2019, il fait partie de l’École Schulich des hautes Ă©tudes commerciales et accueille des recherches interdisciplinaires dans des domaines allant de l’éthique des affaires et des mĂ©gadonnĂ©es Ă  l’entreprise mondiale, en passant par l’immobilier et les infrastructures.

« Le bâtiment envoie un message fort et l’architecture communique cela très clairement, a dĂ©clarĂ© Rob McEwen lors de l’inauguration officielle de l’édifice. Nous sommes dans un bâtiment est la porte d’entrĂ©e de l’UniversitĂ© York. Quel est le message? Cette Ă©cole est innovante, imaginative et responsable vis-Ă -vis de l’environnement et elle trace la voie pour l’avenir. Â»

Le a reçu la certification LEED Or, l’une des plus hautes normes de durabilitĂ©. Il s’agit de l’un des premiers bâtiments au Canada Ă  utiliser les principes des systèmes de construction thermiquement actifs, centrĂ©s autour d’une spectaculaire cheminĂ©e solaire en verre de 27 mètres de haut qui assure la ventilation naturelle passive de l’ensemble du bâtiment. Pendant près de la moitiĂ© du temps d’occupation, la cheminĂ©e solaire sera la principale source de ventilation. Le bâtiment de 67 000 pieds carrĂ©s a immĂ©diatement attirĂ© l’attention par son design remarquable et ses caractĂ©ristiques innovantes. LEED, qui signifie « Leadership in Energy and Environmental Design Â», est la principale rĂ©fĂ©rence de l’industrie mondiale du bâtiment en matière de conception durable.

Le bâtiment dispose Ă©galement de plus de 200 fenĂŞtres extĂ©rieures automatisĂ©es, contrĂ´lĂ©es par ordinateur qui assurent une ventilation naturelle. Il contient plus de 20 km de tuyaux de chauffage et de refroidissement par rayonnement intĂ©grĂ©s dans sa structure en bĂ©ton pour crĂ©er ce que l’on appelle un système de dalles actives, la mĂ©thode la plus Ă©conome en Ă©nergie pour chauffer et refroidir mĂ©caniquement un bâtiment. Pour minimiser davantage son empreinte Ă©nergĂ©tique, le bâtiment comporte de nombreux espaces intĂ©rieurs Ă©clairĂ©s par la lumière du jour et de vastes toits verts. Toutes les vitres extĂ©rieures sont constituĂ©es de verre Ă  faible Ă©missivitĂ© Ă  triple vitrage et sont dotĂ©es de marqueurs extĂ©rieurs adaptĂ©s aux oiseaux.

« En tant que bâtiment certifiĂ© LEED Or, l’édifice du incarne l’engagement de l’École Schulich des hautes Ă©tudes commerciales Ă  ĂŞtre un chef de file international reconnu en matière de durabilitĂ© environnementale dans toutes ses activitĂ©s Â», a dĂ©clarĂ© le doyen associĂ© des relations extĂ©rieures et professeur en immobilier et en infrastructures .   Le a Ă©tĂ© reconnu par l’Ordre des architectes de l’Ontario (OAA), qui lui a dĂ©cernĂ© le prix d’excellence en design 2020 en reconnaissance de son excellence architecturale, de sa crĂ©ativitĂ© et de sa conception durable. Il a Ă©galement reçu un prix du Conseil du bâtiment durable au Canada en 2020 pour sa conception durable, son excellence architecturale et son innovation technique.

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